La tension monte dans les coulisses de l’UFC. Le combattant polonais Mateusz Gamrot n’a pas mâché ses mots après avoir appris que Benoît Saint Denis (BSD) avait décliné une offre de combat en short notice pour l’UFC 315, prévu dans les prochaines semaines.
Sur les réseaux sociaux, Gamrot a exprimé sa frustration avec virulence :
« BSD a refusé le combat de la semaine prochaine, qu'est-ce qui ne va pas chez vous ? Faites-vous pousser des co*illes, bande de lâches ! »
Un refus stratégique ou une fuite ?
Une déclaration qui a immédiatement enflammé la sphère MMA, entre supporters polonais, français, et observateurs du circuit lightweight. Le refus de Benoît Saint Denis, qui sort d’une guerre contre Dustin Poirier à l’UFC 299, s’expliquerait par des raisons médicales et un délai jugé trop court pour se préparer correctement — une décision saluée par certains pour son professionnalisme, mais moquée par d'autres pour son manque supposé de bravoure.
De son côté, Gamrot, classé dans le top 10 des légers, cherche désespérément un adversaire de renom pour rester actif et grimper dans la hiérarchie. Son appel au combat semble s'inscrire dans une stratégie de pression publique, fréquente dans l’univers du MMA.
Aucune déclaration officielle n’a encore été faite par le camp de Saint Denis, mais les réactions ne cessent de tomber. Entre calcul stratégique et ego blessé, l’incident illustre une nouvelle fois les jeux de pouvoir et de provocation qui règnent dans les coulisses de l’UFC.